Des canaux de Venise aux falaises d’Etretat, en passant par les sentiers du Mont Fuji, les ruelles de Santorin ou les quais d’Amsterdam, de plus en plus de lieux peinent à gérer l’afflux de visiteurs. Qualifiée de « surtourisme », cette hyperfréquentation pose notamment question dans les espaces naturels, qui doivent combiner passage des promeneurs, préservation de ces milieux, et maintien des activités humaines existantes. Ceci, dans un contexte de changement climatique qui tend à fragiliser les écosystèmes.
Pourtant, si la fréquentation de certains sites augmente, faut-il parler de « surtourisme » ? Que cache l’emploi tous azimut de ce terme ? Quel regard portent les acteurs des territoires concernés par ce phénomène ?
Croisant les analyses universitaires et les expériences de terrain, cette nouvelle rencontre BorderLine propose de s’interroger sur les atouts mais aussi les limites du tourisme vert. Finalement, quels jalons poser pour une fréquentation véritablement durable et partagée des espaces naturels ?
Collaboration entre la Mission Agrobiosciences-INRAE et le Quai des Savoirs
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Crédit image : Gilles Sire
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