La mélopée candide et incisive de Mardi Midi a des accents destroy de techno indus : beat droit, synthé fucké, riffs à vif. Sobre et directe, sourde et brute, mais parfois naïve et caressante, c’est une dance totalitaire, bancale et joyeuse : un hymne proto-club, écrit comme une chanson à la gloire de l’analogique moderne.
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