De Haendel, voici des airs extraits des opéras de sa maturité qui enflammèrent Londres grâce aux voix des plus célèbres castrats italiens : Tamerlano (1724, Andrea Paccini), Tolomeo (1728, Senesino)... De Vivaldi, voici des pièces orchestrales pour entrecouper les arias d’Haendel, extraites de ses célèbres concertos pour violon que l’Europe entière admirait du vivant même du compositeur. Mais de Vivaldi, Orliński interprète aussi des airs de son opéra Il Giustino. Nul doute que dans ce déploiement de virtuosité et de sensibilité, qui étaient les deux qualités d’exception des castrats, qu'Orliński ne soit au firmament.
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