RDV Onigi'Lille : Soirée Suzuki ! - Kino Ciné

On vous l'avait annoncé : le rendez-vous du Kino, organisé en partenariat avec l'Association Onigi'Lille - オニギリール est de retour pour une soirée spéciale Suzuki ! L'occasion pour nous de vous montrer en avant-première, avant leur ressortie en salle le 28 mars par Splendor films (qu'on remercie grandement au passage !), Le Vagabond de Tokyo et La Marque du tueur, dans de superbes copies restaurées. Venez vous en prendre plein les yeux, en (re)découvrant sur grand écran, ces deux grands films explosifs des années 60 !

Comme d'habitude, Romain (membre d'Onigi'Lille) et Thomas (bénévole du Kino passionné par le cinéma japonais) seront là pour introduire les deux films.

Petite restauration japonaise (préparée par Onigi !) et boissons seront en vente dans le hall (à prix réduit) avant et entre les séances.

Tarifs spéciaux soirée (deux films) :
8 euros (non abonnés)
6 euros (abonnés ou membres d'Onigi'Lille )

Tarifs habituels (un film) :
Adulte : 5,60 €
Réduit : 4,60 €
Abonnés : 3.60 €

• Le Kino partenaire de la carte UGC Illimitée •
• Paiement par carte bancaire maintenant accepté


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19H :
LE VAGABOND DE TOKYO (1966)
Titre original : 東京流れ者 (Tōkyō Nagaremono)
Réalisation : Seijun Suzuki
Scénario: Yasunori Kawauchi
Société de production : Nikkatsu
Distribution : Tetsuya Watari, Chieko Matsubara, Hideaki Nitani...
Japon, 82min, couleur, Cinémascope, vostfr

"Tetsuya Hondo est un yakuza dont le clan vient récemment d’arrêter ses activités. Il est contacté par un clan rival mais décline l’offre. Comprenant qu’il met ainsi en péril sa vie ainsi que celles de ceux de son clan, son chef lui demande de quitter Tokyo et de devenir vagabond."

21H :
LA MARQUE DU TUEUR (1967)
Titre original: 殺しの烙印 (Koroshi no Rakuin)
Réalisation: Seijun Suzuki
Scénario: Hachiro Guryu, Takeo Kimura, Chusei Sone, Atsushi Yamatoya
Société de production : Nikkatsu
Distribution : Joe Shishido, Koji Nambara, Isao Tamagawa...
Japon, 87min, N&B, Cinémascope, vostfr

"Le tueur numéro 3 devient la cible de ses commanditaires après avoir raté un contrat. Alors qu’il se défait sans mal des hordes d’assassins envoyés à sa suite, il trouve le réconfort auprès de ses maitresses. Mais le défi ultime s’annonce quand le mystérieux tueur numéro 1, dont personne de vivant n’a jamais vu le visage, se met également à ses trousses. "

PRESSE :
"Dans le bouillonnement du cinéma japonais des années 60, Seijun Suzuki tient une place à part, celle d'un styliste exalté, d'un vrai maverick qui aura fat exploser la logique des studios en gerbes de couleurs et d'excentricités formelles - jusqu'à s'y brûler les ailes." Cahiers du Cinéma