> Deux siècles d’estampes japonaises, Dans les collections de la BnF
Issues des Collections du département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France, ces gravures sur bois datant des XVIIIe et XIXe siècles incarnent la virtuosité et la puissance d’évocation de dessinateurs qui ont su s’affranchir de la suprématie des peintres de la Cour, pour proposer un art résolument populaire.
> Jean-Baptiste Camille Corot
Ses clichés-verre, aussi poétiques que virtuoses, révèlent sa maestria et son insatiable curiosité pour les découvertes techniques de son temps — et c’est précisément cet aspect de son œuvre qui sera mis en lumière lors de cette troisième édition.
> Ossip Zadkine
Son œuvre, qui s’échelonne sur un demi-siècle, compte plus de quatre cents sculptures, des milliers de dessins, aquarelles et gouaches, des gravures, des illustrations et des cartons de tapisserie. Le Festival du Dessin permet de découvrir une cinquantaine de pièces, dont des portraits et des dessins de guerre.
> Jean Moulin
Immense figure de la Résistance fut aussi un dessinateur passionné qui publiait avec succès aquarelles et caricatures dans différents journaux sous le pseudonyme de Romanin.
> Henri Rivière
Au début des années 1880, sous l’influence de l’estampe japonaise qu’il collectionne, il découvre la gravure sur bois, dont il maîtrise toutes les étapes, et sera l’un des acteurs majeurs du renouveau de l’estampe en couleurs, avant de se tourner vers l’aquarelle.
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