De 18h00 à 23h59
Réservations sur le site internet de l'événement.
Depuis son lancement en 2021, le festival Isulia s'engage à enrichir le paysage artistique de Bordeaux et à favoriser l'émergence de nouvelles idées dans la région. Leur quatrième édition continue fièrement sur cette voie.
Chaque année, 6500 festivaliers de Bordeaux et d'ailleurs se rassemblent dans cet espace unique de créativité où se croisent artistes, idées novatrices, et nouvelles énergies. Les organisateurs, déterminés à dynamiser la scène artistique bordelaise, ont élaboré une programmation exceptionnelle.
Avec un cadre spatio-temporel renouvelé, le festival panorama continue d’explorer les musiques électroniques et ses différentes nuances à la Base sous-marine tout en valorisant ses entrelacements avec d’autres esthétiques musicales aux Vivres de l’Art. D’un côté, l’ancien bunker accueillera les figures émergentes de la scène nationale et internationale aux côtés des artistes bordelais·es et néo-aquitain·e·s les plus en vue, avec toujours une dose de live machine et de b2b inédits. De l’autre, la galerie d’art sera l’antre de collaborations avec des collectifs artistiques locaux en proposant concerts d’artistes émergents, performances artistiques et expériences en tout genre. Tou·te·s, et chacun·e à leur manière, seront ainsi les fiers étendards de scènes artistiques en plein renouvellement, porteuses de valeurs et d’idéaux qui dépassent le seul dancefloor. C’est dans cette perspective des mutations qui nous traversent que, toujours aux Vivres de l’Art mais cette fois-ci en journée, nous nous affairerons dans l’atelier afin de décrypter, proposer des points de vue et des clés de compréhension sur les pratiques et les préoccupations des nouvelles générations. Dans une optique de festival écho, cette 4ème édition maniera ainsi information, action et mise en perspective sur des enjeux aussi variés que le renouveau démocratique, l’engagement associatif, les nouveaux imaginaires, le travail et l’entrepreneuriat, les nouveaux modèles culturels, l’urgence écologique, les mutations numériques, la crise socio-économique..."
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