Rares sont les visiteurs du château de Versailles ou les lecteurs de La Princesse de Clèves qui voient dans ces créations emblématiques du XVIIe siècle français une quelconque influence indienne. Pourtant ces œuvres majeures du Grand Siècle, comme tant d’autres, sont nées dans un contexte intellectuel profondément marqué par une fascination pour l’Inde, et elles en portent la trace. En quête de cette passion oubliée, Faith E. Beasley réinterroge les textes pour reconstituer les conversations qui se sont tenues dans les salons entre savants et mondains des deux sexes.
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