Notre démocratie est malade du travail, ou du moins des formes qu’il prend dans nos vies, de l’emprise qu’il gagne, de la mobilisation de toutes nos forces qu’il requiert. Arnaud François s’interroge sur la possibilité de penser différemment les relations de la vie -émotionnelle, amicale, créative- avec le travail, convaincu que nos vies peuvent se défaire du poids excessif du travail ou du moins le redéfinir, ce qui implique de revoir nos attentes sociales et de découpler nos vies de l’activité productive. Un rapport vivant au travail libère nos vies, et les réconcilie peut-être avec les exigences écologiques.
Source : Open Agenda
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