En comparant le destin d'Émilie du Châtelet, de Sophie Germain et d'Emmy Noether, nous montrons les difficultés variées rencontrées par les femmes pour assouvir leur passion des mathématiques, qu'elles appartiennent à un milieu aristocratique, bourgeois ou académique. Elles ont dû faire preuve de beaucoup de ténacité, de courage et même de ruse. Nous montrons aussi que les réactions et les propos machistes n'ont pas nécessairement décru en fonction du temps et que les éloges ne se sont pas toujours traduits en actes.
Source : Open Agenda
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