Le retour sur le devant de la scène de Stephan Eicher, après un bras de fer épuisant contre son ancienne maison de disque, n’a rien d’une revanche. Au contraire, une lumière harmonieuse s’installe doucement sur le nouveau répertoire du Suisse, partagé entre les textes de Philippe Djian et le goût pour les musiques du voyage qui viennent directement de la tête et du cœur.
L’émanation sans doute de ses origines yéniches, ces nomades alémaniques dont la musique a teinté le folklore traditionnel suisse.
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