Comme toujours avec Marc Lacourt, le récit est sens dessus dessous. Les objets tombent du ciel, un joyeux chaos s’installe mais cela n’empêche pas la troupe de Marc Lacourt de danser. La valse des cinq interprètes déconstruit pas à pas nos préjugés sur les monstres. Avec beaucoup de légèreté et de douceur. Visiblement inspiré par les créatures qui peuplent nos imaginaires mais aussi par le fameux bleu d’Yves Klein, Marc Lacourt s’amuse de nos peurs et de nos angoisses. La figure du monstre pose ici la question de la différence et de l’altérité.
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