L’œuvre est composée en 1736 à l’occasion de la fête de la Vierge des Sept Douleurs par un Pergolesi moribond. Miné par la tuberculose, il n’entendra jamais cette pièce, expirant à l’âge de 26 ans peu après l’avoir livrée...
Extraite du dramma sacro (dramesacré) composé en 1731, Li Prodigi della divina grazia nella conversione e morte di San Guglielmo duca d’Aquitana (Les Prodiges de la grâce divine dans la conversion et la mort de saint Guillaume, duc d’Aquitaine), la sinfonia annonce le début de l’ opéra et s’articule à la manière du concerto vivaldien :
Jérôme Correas orgue et direction
Pauline Jolly : soprano
Myrianne Fleur : mezzo soprano
Patrick Oliva : Violon 1
Clara Muhlethaler : Violon 2
Benoit Bursztejn : Alto
Arthur Cambreling : Violoncelle
Franck Ratajczyk : Contrebasse
Un festival au rythme des Heures monastiques !
Depuis leurs origines, en Orient comme en Occident, les monastères suivent le rythme des Heures, haltes spirituelles et musicales qui ponctuent la vie quotidienne, des matines du lever du jour aux complies du crépuscule. Le Collège des Bernardins reprend cet ancien usage, mis au service de la musique, pour donner sa couleur originale au Festival des Heures.
Après un concert d’ouverture de la Maîtrise Notre-Dame de Paris, cinq concerts se succéderont sous les voûtes du Collège des Bernardins tout au long de la journée, au rythme des prières monastiques, abordant un répertoire classique, de la musique ancienne à nos jours.
Découvrez la programmation complète du Festival des heures !
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