Crie mais pas trop fort est une invitation à écouter des voix qui ne sont pas souvent entendues, à découvrir des histoires qui ne sont pas souvent racontées.
En marge de l'agitation de la scène photographique parisienne, Stéphane Cherix et La Pièce Blanche s'associent pour donner la parole à deux photographes émergentes qui travaillent sur leurs territoires.
Federica Buccheri et Camille Chopin, à travers deux écritures photographiques éloignées, sont unies par une volonté commune : mettre au centre les questions identitaires qui traversent leurs peuples. Elles questionnent l'appartenance, l'identité et le lien émotionnel à une terre.
À travers une évocation intime et onirique, Federica Buccheri raconte sa Sicile lorsqu'elle en est loin. Ses images proposent une réflexion sur ce qu’est l’identité territoriale et sur la manière dont celle-ci est constamment ré-élaborée par notre mémoire émotionnelle.
Camille Chopin, quant à elle, bouscule nos idées reçues sur le Pays Basque en abordant la question queer en milieu rural. Ses por
Source : Open Agenda
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