Dans un monde de la Renaissance où l’animal est omniprésent, animal de compagnie des cours, cheval sur le champ de bataille, mais aussi monstre qui hante l’imaginaire, il était naturel qu’il peuple également les médailles pour exalter les exploits des princes, le courage des condottieri, la vertu des humanistes.
Par Paul Froment, chargé de collections de médailles, département des Monnaies, médailles et antiques, BnF
Source : Open Agenda
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