Entrée dans le monde de l'humour avec "Le syndrome du Playmobil", elle a intégré la famille au féminin du prosaïque trash qui ne fait pas dans la dentelle[…]. Manifestement inspirée, sinon traumatisée, par un passé d'animatrice péri-scolaire en maternelle, les insupportables "chères" têtes blondes constituent son coeur de cible. Sous la direction de son homologue nantais Florent Longépé, appelant un chat un chat, et d'ailleurs avec elle, et accessoirement, les félinés passent directement à la casserole, Elodie Poux ne s'encombre pas de bien-pensance et dispense une performance hypervitaminée pour rire en toute sérénité et se dédouaner de mauvaises et horribles pensées qui, sans doute, ont toutes, un jour, effleuré, voire traversé, les esprits exaspérés.
0 Commentaire Soyez le premier à réagir