La gravité y exclut tout tragique, et la sensation de paix qu’il inspire nous ramène au sens premier du mot latin Requiem : le repos. Fauré approuva d’ailleurs la qualification de « berceuse de la mort » donnée à cette oeuvre qu’il avait écrite « pour le plaisir ». Invité régulier de l’Orchestre national du Capitole, Kazuki Yamada convie un plateau franco-japonais, avec le Chœur Philharmonique de Tokyo dont il est le directeur musical. Ce chef francophile dirigera également la charmante Petite Suite de Debussy et une toute nouvelle oeuvre du compositeur et organiste Thierry Escaich.
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