A 20h00
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Le huis-clos ferroviaire associe le confinement au mouvement, raison pour laquelle le cinéma en a fait l’un des lieux de prédilection du récit criminel. Le train de cinéma devient alors en lui-même une entité mécanique inquiétante, déformant la réalité par les tressautements visuels et sonores qu’il fait subir au film. Vincent Souladié est maître de conférences en Études Cinématographiques et responsable de Licence cinéma et audiovisuel à l’Université Jean Jaurès.
En lien avec la projection du film Une femme disparaît d'Alfred Hitchcock (1938) . Voir brochure cinéma Le Métro
0 Commentaire Soyez le premier à réagir