Sophie Le Cam fait une entrée remarquée sur la scène pop avec un premier album décalé et sincère. Enregistré dans sa chambre d’adolescente avec des synthés lo-fi et une production minimaliste, cet album est un kaléidoscope de rêveries juvéniles, enrichi de touches acoustiques. Elle y chante ses fantasmes de célébrité, ses hommages tendres à la fragilité, et même une déclaration à Thomas Pesquet. Avec un style rappelant Renaud (première période) et l’excentricité de Philippe Katerine, Sophie explore l’amour, les chiens et les garçons, le tout avec une poésie faussement naïve et impertinente.
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