Contrairement à une idée reçue, la musique de nuit n’est pas toujours petite… C’est ce qu’on vérifiera avec la Sérénade n° 11 de Mozart, donnée dans sa version initiale pour sextuor par les solistes du Concert d’Astrée. « Sérénade », un mot dont on ne sait s’il vient de l’italien « sera » (« soirée ») ou « sereno » (« serein ») mais qui désigne à coup sûr l’hommage donné par un amant au crépuscule sous les fenêtres de sa bien-aimée… Pour pimenter la nuit et prolonger l’enchantement, on retrouvera, dans la seconde partie du concert, quelques extraits de La Flûte enchantée, en transcription pour sextuor.
Avec Vincenzo Casale, François Gillardot clarinettes Jeroen Billiet, Yannick Maillet cors Philippe Miqueu, Niels Coppalle bassons
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