Alors que la capitale est plongée dans la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons, le Journal du bourgeois de Paris (un chanoine de Notre-Dame) mentionne la réalisation, au cimetière des Innocents, des peintures de la Danse macabre où la Mort entraîne chaque état de la société. L'oeuvre connut un succès considérable et fut reproduite et imitée en abondance. Que dit-elle de de la sensibilité et de la spiritualité du temps
Avec Catherine Vincent, professeur émérite à l'université Paris Nanterre, présidente de la Société d'histoire religieuse de la France.
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Crédit image : Giacomo Borlone de Buschis, Danse macabre du triomphe de la mort, 1485
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