Ce triptyque est rythmé par les thématiques de la perte et du changement qui hantent le travail du chorégraphe. Les corps sont habités par l’amour, la joie, la douleur, la mélancolie… et la virtuosité des danseurs d’Aterballetto, transfigurée par l’univers de Inger, brille d’un éclat scintillant.
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